dimanche 6 décembre 2015
LA MAINTENANCE PREVENTIVE
La théorie et la pratique de la maintenance préventive nous obligent à tout maintenir en état de fonctionnement normal (nominal). L’état dégradé doit être réparé dès qu’il est détecté, car sinon on découvre et on s’affronte à une cascade de pannes non détectées et non prévues en cas de panne nouvelle.
Le coût de la maintenance préventive (service de l’attention + matériels à remplacer), est bien inférieur (plusieurs ordres de grandeur = puissances de dix) au coût d’une panne générale + la pression sur les équipes de réparation + la panique du public + la ruine des entreprises + les blessés et les morts éventuels, à soigner et à indemniser.
Les particuliers pratiquent la maintenance préventive pour leurs moyens de transports, leurs domiciles, leurs travails.
Les professionnels des infrastructures de transport, de santé, d’armement, d’électronique grand public, l’agroalimentaire, la chimie, la pharmacie, l’énergie, les propriétaires de commerce au détail et en gros, vont plus loin, en simulant des cas de pannes une fois la maintenance préventive effectuée, puis en vérifiant son efficacité sur les scénario de simulation, dans le but de réparer les failles. Ce processus d’amélioration est répétée de façon continue jusqu’à obtenir la perfection, puis conserver l’optimum dans la durée, soit le temps moyen et long. La réputation des marques des entreprises, des administrations qui pratiquent la maintenance préventive est singulièrement améliorée, ce qui suscite une amélioration des ventes, donc des profits de ces entreprises, ainsi qu’un surcroît de confiance du public et des élites dirigeantes dans les administrations concernées.
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