LES INFORMATIONS SONT REMUNEREES EN MONNAIE

Les journalistes, les entrepreneurs, les élus, sont avides d'informations.
Or les bonnes informations sont rares. Les bonnes informations vérifiables doivent être rémunérées en monnaie, selon un contrat préalable oral de gré à gré.
Un PRIX DE MARCHE DES INFORMATIONS s'établit petit à petit par essais-erreurs corrigées.
Les personnes mal intentionnées, qui intoxiquent avec de fausses informations, sont éliminées de la cotation du marché suite à la vérification des informations données. Vérifiez les informations par recoupement provenant de sources d'origine bien diversifiée.
Ainsi, les détenteurs d'informations seront plus coopératifs à communiquer leur savoir.

ILLETRES CONTRE JOURNALISTES

Les journalistes subissent des campagnes de dénigrement par le grand public.
Les journalistes ne doivent pas oublier la grande proportion d'illétrés dans la population française en 2018, que j'évalue à 50% de la population (sondage exact à mener).
Une caractéristique des illétrés est leur haine envers les lettrés, qui remonte à leurs échecs scolaires, alors que les journalistes lettrés sont tous sélectionnés au niveau Bac+5.

Le ministère de l'Education Nationale est parvenu en 2017 en France à 80% de la génération des jeunes au niveau BAC (fin de lycée à 18 ans).
Mais ne pas oublier que vivent encore des anciens de 80 ans qui ont le niveau brevet des écoles CM2, et que de nombreux adultes de ma génération (50 ans) n'ont que le niveau de fin de 3ème brevet des collèges à 16 ans.
Régulièrement la guerre des petits contre les grands ressurgit, comme actuellement la croisade contre les journalistes.
Plus d'instruction envers ces populations semble vouée à l'échec, suite à la jalousie de ceux qui sont en échec scolaire.