jeudi 13 janvier 2022
ETUDE DU MANTEAU NEIGEUX PAR REFLEXIONS MULTISPECTRALES
La structure du manteau neigeux recouvrant une pente peut probablement être étudié comme la sismique des couches terrestres, par étude des reflexions des ondes dans une large gamme spectrale (de fréquences) pour déterminer les discontinuités entre les couches de neige en profondeur.
Il faut :
- fabriquer un générateur d'ondes suffisamment puissant et à bonne portée (distance)
- fabriquer un récepteur / analyseur multispectral suffisamment sensible, probablement sous la forme d'une sonde équipée d'une parabole de réception = pistolet parabolique
- rendre le génrateur + récepteur (reflexions) portatif
- fabriquer une base de données de structures neigeuses
- former les pisteurs
- équiper les stations de ski et les services d'urgence (gendarmerie de montagne)
Mais avant, tout, vérifier la faisabilité par des réunions entre :
- électroniciens micro-onde
- sismologues de planète
- pisteurs spécialistes de la neige
Commencer par une version plus puissante, donc plus volumineuse, du type canon parabolique, à monter sur les hélicoptères de reconnaissance (gendarmerie de haute montagne, hélicoptère de station de ski), avant de miniaturiser pour skieur pisteur
Attention à bien fiaibiliser et à durcir (rendre robuste) l'électronique des capteurs emmetteurs récepteurs + batteries aux intempéries :
- grand froid
- neige
- pluie
- grand vent
En résumé, ce que je demande, c'est le développement d'un radar à neige, qui prendra peut être la forme d'un dôme embarqué sur hélicoptère, et d'une sonde miniaturisée pour skieurs, reliée au téléphone portable par liaison courte portée Bluetooth, ou cable souple USB de 1 m. Le rapport sera transmis automatiquement par téléphone géolocalisé par satellite (GPS, Galileo) à la station, pour cartographie des pentes et attente des consignes (de déclanchement d'avalanche).
Ce qu'il importe de vérifier par les spécialistes de la neige, c'est la corrélation des avalanches et des épaisseurs de couches de neige de structures différentes. Il suffit de sonder par une longueur d'onde de l'eau (neige), comme dans les échographies humaines. Il faudra préparer une base de données ou des algorithmes pour calculer les zones à risque.
Bon travail.
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