mercredi 27 janvier 2016
LIBERALISER LA PROFESSION DE TAXI
A condition de rembourser les patentes de barrière à l’entrée dans la profession de taxi, au taux actualisé de l’inflation, la profession de taxi gagnerait à être libéralisée, mais seulement si tous les acteurs nouveaux et anciens sont soumis à une réglementation équivalente en ce qui concerne la rigueur :
- des compétences en conduite
- des assurances souscrites
- des contrôles de véhicules annuels
- Le secteur des services à la personne est soumis à l'autorisation
- de l’imposition
La concurrence se fera alors sur :
- le type de véhicule
- l’accueil
- la compétence de conduite
- l’organisation des rendez-vous
- l’exactitude des rendez-vous
- la satisfaction du client et la fidélisation de la clientèle
La pénurie de taxi est artificiellement entretenue par un système de barrière financière à l’entrée, les patentes, directement issue des corporations de l’ancien régime aboli en 1789. Le système capitaliste fonctionne mieux, en ce qui concerne l’organisation de l’activité productive, que le système étatisé et le système communiste, suivant en cela le principe de liberté de la constitution française. Il suffit de réguler efficacement la brutalité capitalistique par un système de règlements le plus efficace, le plus léger et le plus transparent possible en terme d’opérations de travail, à condition que le même régime soit soumis à tous les concurrents d’un même secteur branche professionnelle, en vertu du principe d’égalité de la constitution française. L’imposition juste et assumée par tous respecte quand à elle le principe de fraternité de la constitution française.
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