jeudi 11 mai 2023

DIMINUER LA PROPORTION DE BUDGET NUCLEAIRE MILITAIRE

Analyse des risques jusqu'en 2035 :
Ce que nous risquons, ce n'est pas une apocalypse militaire entre nations nucléarisées, mais des escarmouches (agressions) sévères avec des armes conventionnelles aux marges (limites) de notre territoire.
Il me parait dès lors opportun dans la loi de programmation militaire 2024-2030 de retarder les investissements dans le matériel nucléaire, et de favoriser ainsi le rattrappage sur l'armement conventionnel.
D'autre part, les interventions militaires extérieures récentes ont montré que la république et la démocratie n'ont pas de racines dans les pays sous-développés. Il appartient à l'Education Nationale, sous dotation militaire spécifique, de constituer un réseau de formateurs français de formateurs étrangers dans le domaine des valeurs et institutions républicaines, afin de structurer les territoires sous-développés.
Enfin, la diplomatie évite de rentrer dans des conflits armés, et permet d'en sortir au plus vite. C'est la diplomatie qui a fait défaut dans la récente guerre en Ukraine.
Au rang des priorités de la loi de programmation militaire 2024-2030, je vois donc :
- la diplomatie
- la formation de formateurs étrangers (diplôme en 1 an "Républiques et Démocraties")
- la cyberdéfense
- les systèmes d'armes conventionnels
- les munitions
- la logistique, le maintien en condition opérationnelles
- les systèmes anti-chars
- les systèmes anti-aériens
Je ne suis pas un pacifiste naif, mais une guerre, çà se conduit au niveau stratégique.

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